Maxime Chattam, Prédateurs
Quatrième de couverture :
Une guerre sans nom. De jeunes soldats sauvagement mutilés dans des mises en scène effroyables. Mais l’ennemi n’est pas le coupable. Pour le lieutenant Frewin, fasciné par le langage du sang, il ne peut s’agir que d’un psychopathe, un monstre de ruse et sadisme, un prédateur cruel et archaïque qui va les décimer un par un…
Mon avis :
J’avais été déçu par le dernier roman de Chattam, Les arcanes du chaos, avec ce nouveau livre je me suis réconcilié avec lui. Tous les ingrédients d’un bon thriller sont réunis : action, fausses pistes à foison, noirceur des âmes, le tout sur un fonds de guerre palpitant. La force de ce livre c’est que le lecteur peut choisir à sa guise de quelle guerre il s’agit puisque aucune date n’est donnée, bien qu’il y ait de très nombreuses similitudes avec la Seconde Guerre Mondiale. Un vrai bon livre à lire, peut-être sur la plage cet été.