Bernard Werber, L'ultime secret
Quatrième de couverture :
Il y a deux millions d’années : le cerveau humain conçoit l’outil, qui démultiplie son efficacité.
Il y a 50 ans : il élabore les premiers programmes d’intelligence artificielle.
Il y a 5 ans : les machines arrivent à penser seules.
Il y a une semaine : un cerveau humain aidé d’un ordinateur accède à « l’Ultime secret ».
Mon avis :
Ce voyage dans les arcanes du cerveau humain selon Werber n’est absolument pas inintéressant, au contraire. On y retrouve les deux héros du Père de nos pères, Lucrèce Nemrod et Isidore Katzenberg, toujours aussi à côté de la plaque. Comme tous les Werber, ce livre est très bien écrit, sans lit avec une grande facilité et happe très rapidement le lecteur. Disons-le tout de suite, ce n’est pas le meilleur de l’auteur. Je lui reproche un ton trop condescendant, moralisateur. Je trouve aussi que Werber a tendance à tomber dans la facilité, l’improbable et, à mon avis, il aurait pu se creuser davantage le cerveau (c’est le cas de le dire) et construire une intrigue plus captivante…