Alessandro Baricco, Novecento : Pianiste
Quatrième de couverture :
Né lors d’une traversée, Novecento, à trente ans, n’a jamais mis le pied à terre. Naviguant sans répit sur l’Atlantique, il passe sa vie les mains posées sur les quatre-vingt-huit touches noires et blanches d’un piano, à composer une musique étrange et magnifique, qui n’appartient qu’à lui : la musique de l’Océan dont l’écho se répand dans tous les ports.
Sous la forme d’un monologue poétique, Baricco allie l’enchantement de la fable aux métaphores vertigineuses.
Mon avis :
Un peu déçu. J’ai été tellement enchanté par Soie que, forcément trouver aussi bon, voire mieux, était une lourde mission. En fait je m’attendais à autre chose, notamment au niveau de l’époque dans laquelle Baricco a décidé de situer son histoire, non pas la première partie du XXe siècle mais plutôt le XVIIIe ou le XIXe. De plus, l’ambiance Rag-time qui règne dans le livre ne m’attire pas plus que cela. Cela mis à part, le texte est toujours aussi finement ciselé, les mots sont justes et touchent exactement là où ils le doivent. J’ai aussi beaucoup aimé le final, à la fois fort et subtil…
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