George Hagen, La Famille Lament
Quatrième de couverture :
En Afrique du Sud, dans les années 50, , Howard rencontre Julia. Lui est chercheur dans les valves, elle est peintre sur un pont. Très vite ils se marient ; très vite, elle est enceinte. Le destin des Lament est en marche. Suite à une série d’aventures rocambolesques, les jeunes parents perdent leur bébé. Mais en gagnent un autre : Will, orphelin au cœur fragile. La famille s’agrandit avec l’arrivée de jumeaux. Et, parce que « les Lament voyagent », comme se plaît à le répéter Howard, toute la maisonnée part à l’aventure. De la Rhodésie au New Jersey en passant par l’Angleterre ; de rencontres en fâcheries, d’espérances en désenchantements, d’histoires d’amour en drames, les Lament voyagent encore et toujours, en quête d’un endroit où ils auraient enfin leur place.
Mon avis :
Encore un très bon livre qui vient de passer sous mes yeux. Une histoire très dépaysante, on voit du pays avec la famille Lament, dont les membres sont tous, chacun à leur niveau, de vrais allumés du bocal. George Hagen a dû s’amuser comme un petit fou en construisant ses personnages. Le style est très bon, même si je déplore un net ralentissement au fil des pages La fin du livre est beaucoup moins enlevée que le début. Les Lament, malgré leurs déménagements incessants, ont tendance à s’encroûter un peu sur la fin du livre (fin qui n’est pas forcément heureuse).
On met son vécu, sa propre histoire, dans ses lectures, la famille Lament m’a rappelé une autre famille, bien réelle celle-ci, très chère à mon cœur…
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