Henri Loevenbruck, Le Testament des Siècles
Quatrième de couverture :
Installé aux Etats-Unis depuis la mort de sa mère, Damien Louvel doit rentrer en France à la suite du décès de son père. Il découvre que celui-ci menait des recherches autour d’un mystérieux objet – la pierre de Iorden. Aidé de Sophie, une journaliste, Damien se lance dans une course effrénée, de bibliothèques en sociétés secrètes, de Gordes, petit village du sud de la France, à Londres et à Paris. Traqués, menacés, Sophie et Damien n’auront de cesse de mettre au jour le plus vieux secret de l’Humanité : le dernier message laissé par le Christ. Mais à quel prix.
Mon avis :
Je n’arrive pas à me décider pour savoir si j’ai aimé ou pas ce livre. Ce qui est certain c’est que je l’ai dévoré. Il faut reconnaître à l’auteur qu’il écrit très bien et que le livre se laisse lire tout seul. On peut, sans problème, comparer Le Testament des Siècles au Da Vinci Code, c’est de la même veine au niveau de l’intrigue, à noter qu’il a été écrit avant Da Vinci Code. Ce qui me gêne dans ce genre de livres, c’est qu’on en revient toujours à la même chose : un héros, une héroïne qui essayent de résoudre un mystère qui doit changer la face du monde. Forcément, les deux héros vont tomber amoureux l’un de l’autre. Par contre, ce que je dois reconnaître à l’auteur, et qui diffère du Da Vinci Code, c’est que le livre ne se termine pas forcément bien, et aussi le fait que les personnages de Loevenbruck sont moins lisses que ceux de Dan Brown, plus sombres et torturés. Au bout du compte, je viens de refermer un livre très plaisant, mais dont on a déjà eu trop d’exemples pour qu’il soit réellement original à mes yeux…