Gaston Leroux, Le Fantôme de l'Opéra
Quatrième de couverture :
« Le fantôme de l’Opéra a existé. J’avais été frappé dès l’abord que je commençai à compulser les archives de l’Académie nationale de musique par la coïncidence surprenante des phénomènes attribués au fantôme et du plus mystérieux, du plus fantastique des drames, et je devais bientôt être conduit à cette idée que l’on pourrait peut-être rationnellement expliquer celui-ci par celui-là ».
Avec l’art de l’intrigue parfaitement nouée et l’inspiration diabolique qui ont fait le succès de Gaston Leroux, le père de Rouletabille, Le Fantôme de l’Opéra nous entraîne dans une extraordinaire aventure qui nous tient en haleine de la première à la dernière ligne.
Mon avis :
Encore un grand classique de lu, encore un grand moment d’ennui. J’ai dû me forcer pour terminer ce livre, que j’avais très envie de lire car il était la promesse de grandes aventures, de mystères, voire de paranormal. Certes ces éléments étaient présents. Ce qui a provoqué l’ennui c’est l’écriture. C’est un style qui a mal vieilli. Les tournures de phrases sont vieillottes et le tout donne un texte assez lourd et pas assez fluide à mon goût. Je préfère le Leroux des Rouletabille…
2 commentaires:
c'est pas aussi rigolo que les Rouletabille et autres parfum de la dame en noir avec lesquels on se régale mais j'avais aimé...
mouais, j'ai vraiment dû me forcer pour le finir...
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