Amélie Nothomb, Biographie de la faim
Quatrième de couverture :
L’auteur de Stupeur et tremblements et de Métaphysique des tubes fait revivre ses souvenirs de petite enfance au Japon mais aussi à Pékin, à New York, au Bangladesh et autres lieux où l’a conduite la carrière d’un père diplomate. Au cœur du kaléidoscope : sa faim. Le mystère de la faim, la faim goinfre, joyeuse ou tragique et angoissante, quête perpétuelle d’un accomplissement inaccessible, qui explique autant l’histoire des peuples que celle des individus.
Les figures du père, d’une nourrice japonaise, d’une sœur tendrement aimée se dessinent aussi dans ce récit pudique et sincère, maniant l’humour noir et la provocation.
Mon avis :
Sans doute un des meilleurs Nothomb que j’ai lus. Cette fois, j’en suis définitivement sûr et certain : La Nothomb est complètement givrée, timbrée, délirante… Et c’est bien ça que j’adore chez elle. Jugez donc : enfant alcoolique, atteinte de potomanie (allez un effort cherchez dans le dictionnaire !!!), pisseuse invétérée, enfant goinfre de sucre chez qui la découverte des speculoos confine presque à l’orgasme, enfin anorexique… Bref, une nana déjantée à souhait que j’aimerais bien rencontrer un jour…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire