Maxime Chattam, Le 5e Règne
Quatrième de couverture :
Ils auraient dû se méfier.
Respecter le couvre-feu instauré depuis le meurtre du jeune Tommy Harper, retrouvé étranglé près de la voie ferrée.
Reposer ce vieux grimoire poussiéreux tant qu’il était encore temps.
Et surtout… ne pas en tourner les pages.
A présent, Sean le rêveur et sa bande vont devoir affronter le Mal absolu : à Edgecombe, petite ville tranquille de Nouvelle-Angleterre, les éléments se déchaînent, de nouveaux adolescents disparaissent et de mystérieux hommes au charisme effrayant font leur apparition…
Et si ce livre maudit détenait la clé du plus effroyable mystère de l’humanité ?
Il s’agit d’une histoire de gosses, comme on en voit tant. Un livre et une histoire qui ont une âme. Il s’agit du genre de livre dont on sait qu’on aura du mal à tourner la dernière page, tellement l’histoire fait rêver. Le fantastique se mêle aux clins d’œil et aux hommages à de nombreuses histoires d’enfants, de Tom Sawyer à l’histoire sans fin, en passant par les Goonies, Ca (de Stephen King), Stand by Me, ou encore Sa Majesté des Mouches. Bref, vous l’avez compris, j’ai adoré ce livre, digne d’un très bon Stephen King. A lire si vous voulez vous dépayser et rêver quelques heures durant.
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