Elizabeth Peters, Un Crocodile sur un banc de sable
Quatrième de couverture :
« Sur la pente en contrebas se tenait la Chose sans Nom, immobile et livide à la clarté des étoiles. La pleine lune projetait sur elle une lumière sans ombre. Il n’y avait pas à s’y tromper : c’était bien elle. Je discernais presque le motif des bandelettes qui enserraient se poitrine. Sa tête, informe, était enveloppée d’une sorte de linceul. La vue seule de ce monstre au repos avait de quoi faire frissonner mais lorsqu’il se retourna sans hâte, inexorablement, j’eus le plus grand mal à dompter ma terreur. C’était comme une créature marine sans regard et sans yeux, surgie du fond de l’abîme et qui cherchait sa proie. »
L’indomptable Amelia Peabody, qui fait ici ses premiers pas sur la Terre des Dieux, se laissera-t-elle abuser par les facéties d’une momie somnambule ? Saura-t-elle soustraire se protégée aux entreprises d’un chasseur de dot cynique et langoureux ? Parviendra-t-elle à déjouer les roueries des indigènes ou à surmonter les mirages des sables et à dissiper les mystères qui jalonnent sa route, en digne émule de Sherlock Holmes et d’Indiana Jones ?
Mon avis :
Encore un très bon livre d’Elizabeth Peters. Je suis fan de ce genre d’histoire et plus particulièrement de cette série. Ici, nous nous retrouvons face au premier épisode des aventures de la famille Emerson. On assiste à la rencontre plus qu’explosive d’Amelia Peabody et d’Emerson : ils ne se quitteront plus. Les paysages sont toujours aussi enchanteurs. L’Egypte, antique et de la fin du XIXe s., fait toujours autant rêver. En refermant ce livre on n’a qu’une seule envie : trouver une machine à remonter le temps et s’évader quelques temps dans cette Egypte de légende.
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