samedi 14 juillet 2007

Jules Grasset, Les Violons du Diable


Quatrième de couverture :

Les voûtes de Saint-Louis-en-l’Île vibrent d’un son ensorcelant… Seule fausse note à cet enchantement, un concert de crimes avec, en ouverture, la dépouille de l’abbé.

De drôles de paroissiens fréquentent le quartier. Entre artistes et grand banditisme, le commissaire Mercier, lui, connaît la musique. Sur cette île chargée d’histoire, l’enquête décryptera-t-elle le code intime signé Cremonensis faciebat… ?

A deux pas du quai des orfèvres, l’auteur subit l’influence d’un autre Jules dont le souvenir romanesque hante encore les locaux et les nuits passées au « violon ».

Mon avis :

Un livre sympathique, bien écrit mais, au final, sans grand intérêt. Il s’agit juste d’un bon livre de vacances, où il n’y a pas à réfléchir, juste à se laisser porter par l’histoire et par les lieux décrits.

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