Stephen Carter, Echec et Mat
Quatrième de couverture :
L’ancien juge Olivier Garland vient tout juste de s’éteindre. Et déjà, les soupçons planent. Crise cardiaque ? Suicide ? Assassinat ? Difficile à dire. Magistrat républicain issu de la haute bourgeoisie noire, chef de famille sévère, opiniâtre et réactionnaire, l’homme était surtout connu pour ce terrible scandale qui, il y quelques années, lui avait coûté sa nomination à la Cour Suprême. Une sale affaire dont le souvenir éclabousse aujourd'hui la famille Garland. Notamment l’un des fils, Talcott, éminent professeur de droit et amateur d’échecs comme son défunt père, qui se retrouve entraîné malgré lui au cœur d’une machiavélique partie. Pour découvrir la vérité, le juriste est contraint de se replonger dans l’histoire sombre et mouvementée du patriarche. Un passé qu’il n’aurait jamais dû déterrer…
Mon avis :
Incontestablement il s’agit là d’un bon livre. Tous les bons ingrédients sont réunis : une histoire bien ficelée, des personnages hauts en couleurs, de l’action… Portant l’alchimie a eu du mal à opérer sur moi. Pour quelles raisons, je suis totalement incapable de le dire, peut-être est-ce dû à la longueur du livre (980 pages environ) ? J’ai, par contre, bien aimé, l’immersion dans le monde de la bourgeoisie noire américaine. Assurément ce roman ne restera pas l’un de mes grands souvenirs.
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