jeudi 8 mai 2008

Franck Thilliez, La Forêt des Ombres



Quatrième de couverture :

Hiver 2006. Cœur de la Forêt Noire.

Le froid, la neige, l’isolement… Les conditions idéales pour écrire sur un tueur en série, retrouvé pendu voilà plus d’un quart de siècle.

Le Bourreau 125.

Arthur Doffre, riche héritier, vieil homme paraplégique, souhaite le ramener à la vie par l’intermédiaire d’un roman. Un thriller que David Miller, auteur de polar occasionnel et embaumeur de profession, a un mois pour écrire, enfermé dans un chalet avec sa famille, Doffre et sa jeune compagne.

Mais il est des portes qu’il vaut mieux laisser fermées… et très vite, la psychose s’installe.

Ne reste alors qu’une seule solution : combattre ses peurs, repousser la folie, grouper ses maigres forces ; et affronter l’impensable…

Mon avis :

Tout ce que j’aime : un huis clos étouffant dont on peut palper l’épaisseur à chaque page, des personnages à la psychologie bien dessinée par l’auteur, une action à couper le souffle, des rebondissements multiples et variés. J’ai aimé cette histoire de tueur en série machiavélique, imprenable et insoupçonnable… La Forêt des Ombres est un très bon roman, et pourtant je suis un peu déçu : déçu parce que les solutions sont un peu trop faciles à trouver, j’ai trouvé une grande partie d’entre elles (pas toutes je dois bien l’avouer).

Ce que j’aime chez Franck Thilliez c’est son écriture simple, rapide, nerveuse, sans fioritures. J’aime aussi la place qu’il donne aux femmes : elle est importante, et, pour une fois dans un livre les femmes n’ont pas toutes le beau rôle et certaines peuvent devenir de vraies méchantes, voire pire…

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